Douleur, droit au coeur.
Je n'y suis jamais allé encore, mais une énorme partie de moi même vit là bas, mon coeur bat en partie pour elle, elle qui m'appelait,il y a 15 ans encore: papa d'amour. Et je la rêve depuis.
Mon coeur en est un peu ébréché.
10 février: je t'ai vue sur ton site, que tu es belle!
Aujourd'hui, 5 mars 2010, quinze ans que je ne t'ai pas vue, ma fille adorée, triste anniversaire. Sois heureuse tout de même.
Aujourd'hui 17 mars 2010, tu as 27 ans, je pense à toi.
J'ai eu de tes nouvelles par Albin, tu es partie là bas pour travailler dans la recherche et tu te trouves employée dans une ferme. Je te tire mon chapeau, cela prouve que tu es bien et que tu acceptes de faire n'importe quoi pour gagner ta vie. Bravo ma fille.
Octobre : j'ai appris que tu étais désormais parisienne, je suis content de te savoir moins loin.
A chaque coup de fil, à chaque fois que l'on frappera à ma porte, je penserai à toi.
Octobre, un an après, toujours rien, pareil à chaque bruit derrière moi, à chaque sonnerie, à chaque jolie grande brune de dos, je pense à toi.
jeudi 14 janvier 2010
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Si j'étais votre fille, je réagirais face à un tel déploiement d'affection, un si bel élan du coeur... En plus, avoir un papa aussi génial, c'est pas donné à tout le monde... Quelle chance elle a cette fille !
RépondreSupprimerMais j'ai envie de rajouter : "tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir".
Merci beaucoup.
SupprimerGhislain