Un ballon pour montrer le chemin de la fête, pratique connue.
Et souvent les vestiges restent là, longtemps jusqu'à la décomposition .
Peut être pour la mémoire : il y a eu la fête
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Qui suis-je ?
- Ghislain Crabieres Photographies
- Saint Priest, Ardèche, France
- Un grand photographe (1.88 m) Papa de déjà quatre beaux enfants. Six fois grand père. Marié pour le meilleur.Voir profil.
J'ai jamais aimé le caoutchouc...c'est triste après !
RépondreSupprimerVous êtes sûr qu'il s'agit bien d'un ballon ???
RépondreSupprimerLouisette, perplexe
Non, c'est une mongolfière qui a pété en plein vol
RépondreSupprimerLouison
TU penses à quoi Louisette ? A la même chose que moi ?
RépondreSupprimerJe suis persuadée que nous pensons à la même chose, Alain.
RépondreSupprimerPetit pervers, va !
Louisette, troublée.
Hééé, vous gênez surtout pas Louisette et Alain, c'est pas un parloir mon blog.
RépondreSupprimerGhislain, irrité !
Un ballon c'est un ballon et un comdon c'est un comdon. Ici on parle d'un ballon. Belle photo Ghislain.
RépondreSupprimerLouison
Réponse à Louison :
RépondreSupprimerje commence à cerner la Louisette, elle est d'un milieu très très rurale, et pour elle Condom c'est juste une ville du Gers ! Et ce qu'elle doit utiliser comme protection quand elle fait une rencontre champêtre doit n'être que ce genre de ballon quand elle n'use pas de boyaux de porc ou autres caoutchoucs. je dirais : les moyens du bord, où à la guerre comme à la guerre.
Ou simplement l'expression d'une imagination galopante découlant de fantasmes secrets et inavoués. Ah! Trousser ou se faire trousser au milieu d'un champ dans un cadre bucolique...
RépondreSupprimerLouison
Attention Louison, tu es peut être trop jeune : mais il y a une sacrée nuance entre trousser et se faire trousser, méfi !
RépondreSupprimerJe dirais même une sacrée différence Ghislain! Dans un tout autre registre, je découvre ton blog et salue ton talent de photographe
RépondreSupprimerLouison