Roquefixade Cathare

Vu d'en bas, j'aurai tendance à me décourager, cela monte. Étrange  d'année en année je trouve que cela grimpe de plus en plus. J'y montais déjà ado.Ajouter une légende

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Arrivé là haut, belle vue récompensatoire. Sommet summum.

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Cadrage évident, idée de Julie, amie de Martin.

Roquefixade contre plongée vertigineuse

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..Quelques pans de murs, toujours là, deux ouvertures aux vents.

Belle épaisseur de mur, loin de nos placos..

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Couleurs automnales dues à l'heure tardive, le soleil se couche ici aussi. Février 2010.

Piton rocheux quand même, faisant face aux derniers rayons du jour.

Neige et soleil, monts et prairie à dévaler.

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Une dernière vue, pleine de printemps à venir.

Si vous voulez en savoir plus sur ce site, allez donc sur le net, il y a tout ce qu'il faut, les dates et tout et tout. Le mieux bien sûr c'est de se déplacer, de se rendre à Roquefixade et de s'imprégner, et transpirer aussi à grimper là haut. Mais arrivé sur place c'est toujours beau quelque soit la saison.

Tergiversation à demeure

L'étau se resserre, les forces antagonistes me mettent la pression en ce jour chômé..

Et je cherche une idée penché à ma fenêtre.

Peut être aller m'asseoir à l'abri des intempéries, mais prendre l'air quand même.

Et si je me mettais au ménage, mais rien ne presse, à ce propos, je suis en ménage, et c'est elle la fée du logis 

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La voici l'idée lumineuse : coincer la bulle 

Déserts de poche

Trace de vie animale. Est ce un pas de géant, ou une de petit chien, marqueur d'espace.J'aurai du mal à vous faire croire à une prise de vue aérienne.

Mais là ? d'avion ? La photo est intulée "remembrement"

Oeuvre magistrale de l'écume hivernale.

Cratére craquelle.

Dune infinie.

Ondulations précaires.

Mouvement vaguelettes.

Un nouveau cliché, peut être plus loin, marcher encore et encore.

Déambulant sur la plage déserte, pas de muse à l'horizon, je traine des pieds rêvant d'une sirène. Honteux de mes pensées, et rougissant, je baisse la

tête à coté de l' épouse. Et là sous mes pas, surprise, matière à photos, mini-déserts imaginaires...à l'infini, comme pour de vrai, un neuf à chaque pas, vierge de vestiges . Et me voici à genoux plantés, ou à plat ventre Canon à l'oeil.

Roulotte toujours, Roquefixade

Retraitée, sous le chateau cathare de Roquefixade.

Peut être la ressortirons nous de ce lieu d'histoire et de repos,

pour être attelée de chevaux de trait,

pour continuer l'aventure. Et bien oui je rêve..

Si je ne me trompe pas, cette belle voyageuse a servi de resto,en fin de parcours. Une bonne table y était dressée, une ambiance chaleureuse et conviviale. J'ai pas vu la note, belle maman m'y a invité à diner. Le vin fort et bon.. j'ai dit Oui à sa fille. C'était sur la route plus bas. Entre Foix et Lavelanet.

Contre jour de coquelicot

Pour celles qui aiment l'envers du décor..

Pascal le tourneur

Le foret et les six pans.

En un tour de main.

Tourner une difficulté.
Eclats du tour.

Machine à demi-pression..

Un tour complet des commandes manuelles.

Pascal a eu la délicatesse de donner un coup de souflette sur son tour et un coup de chiffon, merci.

Et un clin d'oeil à Antoine L. le toubib, qui m'a mis en tête cette série, aprés m'avoir montré dans son cabinet, une image de zinguerie (en fait une photo d'un robinet ..mais ce terme pourrait prêter à confusion). Défi relevé mais pas égalé, j'en conviens.

Centrale,Cruas, pour Thierry B.

Avant de lever les yeux sur le monstre, regardons le sol nu de végétation. Présage lugubre.

Les quatres fulminent de leurs vapeurs dites innocentes mais épouvantes. Sentons l'orage qui se profile au Nord.

Rassurez vous, j'ai suivi les conseils des panneaux, et n'ai pas fait plus de 30 photos, d'autant plus qu'il y a des caméras devant ce portail, et que je n'avais pas ma cagoule.

A gauche, un ventilateur pour évacuer les vapeurs d'eau vers le Midi aride. Bien pensé.

De la verdure en vrai, autour de la centrale, un bon point.J'ai commencé par faire cette série de photos en noir et blanc.J'ai choisi d'imiter un rendu trés trés "lith" pour donner un aspect onirique à mes clichés. Par contre cette dernière image en couleurs est là pour vous ramener à la vérité et vous rassurer sur les effets de cette grosse machine, et sur mon état de santé. Pas de séquelles..

Quand mon nouveau patron m'a dit de passer par la centrale, j'ai cru qu'il me fallait faire Centrale, l'école. Et pour ceux qui sont allés voir mon CV... En fait j'ai des passagers à aller chercher certains soirs, les ramener à domicile après leurs journées aux fourneaux. Je gagne donc ma vie en partie grâce au nucléaire, obligé de revoir mon jugement. Vital. Mais quand je suis au pieds de ces gigantesques cocottes minute en ébulition, je me sens petit petit. Et je reste à l'affût de la moindre anomalie, prêt à enclencher la quatrième vitesse de mon autocar. Sauve qui peut.. Sachez qu'il y a une part de vérité dans ces derniers propos..








Merde, je crois qu'on nous a coupé l'électricité!
_ tu avais payé la dernière facture ? où sont les bougies ?
_ Non j'ai jamais rien payé, les bougies ... dans le placard, celui de la grange au fond du jardin, vas y toi, et fais gaffe à la marche ..

Un tunnel échappatoire noir à traverser, après la crise de couple due à cette coupure d'énergie, et atterrissage en douceur dans les alpages.

Pastoral instant

A flanc de coteau dans les Alpes.

Pareil, mais derrière moi.

Compter les moutons et s'endormir sur le clavier.

La garde est assurée.

J'ai été berger. Il fut une époque pendant laquelle j'arrivais à dénombrer, à vue d'oeil, le nombre aproximatif de têtes dans un troupeau. Là, il me semble qu'il y a 1200 brebis, personne ne me contredira...

Ailes déployées à Lordat

Hibou grand duc.

A buse du ciel.

Virevolte.

Face à face avec ce vautour, même pas peur!

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Chouette effraie.

Vautour en survol.

les amies de Martin

Demoiselles à la recherche de mon Martin.

Peinard, elles ne me trouveront pas !